Pas de soucis , et j'apprécie énormément la régate avec les copains ... surtout que même sur une grosse flotte on s’aperçoit qu'on finit toujours pas régater avec les même 4-5 bateaux
Mon propos est plutôt que depuis deux ans, on se décarcasse à organiser des régates spécifiques, où l'on rassemble 10-12 doubles rapides, 20 quand les jeunes en 29er nous rejoignent (et quand il ne viennent pas on G....). A chaque événement le bilan financier du club est au mieux à zero . Demande à Baptiste, pour Hyères (qui est pourtant un succès) si on ne mutualisait pas avec les cata, çà serait intenable (comme StCroix à Pâques). Finalement après des années ... croissance zero, because justement cette activité en autarcie.
Après mon retour récent en France, certains avaient fini pas me convaincre que c'était la seule option possible, rejeté par les classes traditionnelles, et étranger au monde du sport jeunes.
Quand en 2014, je me suis dit "wait a minute", allons voir ce qui se passe dans la ligue ... j'ai découvert un accueil très sympa de plein de classes, accueil et curiosité intéressée autour du D (je ne compte plus les essais, à la fin des régates), dont le top a été le France IND cette année. Le supposé rejet ou condescendance ... je ne l'ai pas rencontré
Idem localement, que ce soit sur des régates départementales, ou ligue.
Alors effectivement, quand je vois une telle fête avec tous ces jeunes et qu'on est pas là pour leur montrer "la voile après 18 ans", je me dit qu'il faut être sacrément C... et qu'au lieu de pleurer sur la désaffection des jeunes après 18ans, on ferait déjà bien de ne pas snober notre sport et ses rassemblements en premier lieu
D'ailleurs Baptiste était allé sur cette finale l'année dernière à Serre Ponçon ... perso je n'avais pas perçu l'importance du rassemblement.
Heureusement que certaines classes ont une "stratégie jeune" efficace comme les Europe (présents sur ces rassemblements), ou les 5O5 (qui organise tout un circuit jeune avec prêt des bateaux), pour montrer qu'il y a une voile adulte, après l'école de compétition du club.
Donc, je ne vais pas me pendre,
, mais je suis furieux, après moi, quelque part, d'avoir perdu ces deux dernières années à faire fausse route. Il faut vraiment construire (ou plutôt rejoindre le mouvement) à partir des clubs (et donc des copains), du département, de la ligue ... Ce qu'Alex a fait, sans bruit mais efficacement, en Rhône-Alpes.