Le D-one reprend des concepts modernes, que l'on a vu apparaitre sur les dériveurs modernes comme les skiffs ces 20 dernières années, mais sans oublier qu'un bateau doit rester marin et sur, car le plaisir de naviguer passe avant tout par la maitrise de son engin.

Avec le D-One, Luca Devoti, a voulu créer une "3eme voie".

D'un côté il y a une approche masochiste de la voile, avec des bateaux difficiles nécessitant des athlètes sur-entrainés physiquement.
De l'autre des bateaux extrêmes procurant beaucoup de plaisir aux rares pratiquants qui les maitrisent, mais dont la plage de navigation est terriblement réduite dès que le vent monte, ou face aux compétences d'un barreur normal.

Le D-One, se veut fun, tout en restant intéressant à régler et faire marcher.
Il veut remettre le plaisir et le jeu au centre de la navigation et de la régate.

  • - Le bateau est marin, bien toilé pour marcher par petit temps, mais possède des ailes de rappel confortables, larges pour facilement maitriser cette puissance.
  • - Ces ailes hautes sur l'eau ne touchent pas l'eau au moindre coup de gite, le barreur de D-One est bien protégé des embruns, même à grande vitesse.
  • - L'adoption de la barre d'écoute et la coupe de la voile ont été conçu pour facilement réduire la puissance lorsque le vent monte.
  • - Le gennaker, permet un planning rapide et enivrant, et un bateau bien équilibré au portant.
  • - Le système d'égalisation simple, grâce aux deux positions d'aile donne des chances à tous les gabarits
  • - Pour les plus légers, le petit gréement permet également une navigation facile.

Francesca Cinque, navigue avec le gréement de 9.5m²

 

Ci vous voulez comprendre, les principes architecturaux qui ont conduit à la conception de ce super dériveur, consultez les chapitres suivants.