Manu 74 écrit:
Rémi,
Les fémelots sont fixés sur une seule plaque (cf. photo du précédent post).
Le fémelot du bas est soudé et je pense que c'est la soudure qui a lâché. Alain qui va me le ressouder va en fait percer pour faire dépasser en bas et réaliser une soudure plus efficace.
En ce qui me concerne, je pense que c'est la torsion exercée par le safran sur un seul fémelot qui a provoqué la fente, mais je n'en suis pas certain. Ce qui est sûr, c'est qu'il y a là un point de fragilité...
Merci Manu,
Tout d'abord, excusez moi j'ai fait une erreur de vocabulaire : la partie mâle est l'aiguillot, et la partie femelle le femelot.
Donc le D-One a deux aiguillots fixés sur une plaque, elle même fixée sur la coque.
Perso, je ne comprend pas que les aiguillots ne soient pas vissés, à travers la plaque coudée ...
C'est déjà cette pièce qui avait laché sur le 4000 de Mika.
On pourrait même aller plus loin, et considérer que vu le couple de torsion que génère le safran si çà lâche, le plus sur serait que sur la coque on ait les fémelots (la partie femelle), et que les aiguillots soient sur la tête de safran (la solution du Laser 1).
Si çà lâche on change la tête de safran, et on est pas obligé d'intervenir sur la coque.
Ou encore mieux avec un axe traversant comme sur les 420 à l'époque (là aucun risque de rupture).
Mais avec l'avènement de ces PT'1 de têtes de safran en fonte d'aluminium moulé, on a une solution de m.... à pas cher et mécaniquement ces petits aiguillots de 5cm soudés sur plaque coudée, sont juste une hérésie.
Autre question Manu, dans ton incident de l'été, ou tu avais tapé avec la dérive, le safran avait il aussi tapé ?
Est ce que çà aurait pu causer une amorce de rupture ?
Dans tous les cas tu as raison, le bloc qui porte la plaque de fémelot, est clairement un point faible, puisque çà fait 3 bateaux qui ont des fissures ... je remonte l'info. à Dévoti (surtout que le D-Zero a la même conception).
(PS : Gaston, je pose à cette occasion, la question concernant la référence du gel coat.)